mardi 16 avril 2013

L'histoire de Sydney


Histoire

  À l'arrivée des premiers Européens, il y avait 4 000 à 8 000 Aborigènes vivant dans la région de Sydney. Presque toutes les traces de leur habitat ont disparu à cause de l'urbanisation ultérieure.
C'est le navigateur britannique James Cook qui aperçut pour la première fois le site de l'actuelle Sydney, qu'il nomma Port Jackson, en 1770 en l'honneur de Sir George Jackson, un des Lords Commissaires de l'amirauté britannique. En 1788, le capitaine Arthur Phillip donna à l'endroit son nom actuel (en l'honneur du ministre de l'Intérieur britannique Thomas Townshend, premier vicomte de Sydney) qu'il avait choisi pour conduire les prisonniers et établir une colonie pénitentiaire destinée aux bagnards emmenés de Grande-Bretagne.
Des colons libres les suivirent et, de 1800 à 1850, leur nombre augmenta régulièrement au fur et à mesure qu'étaient mises en valeur les richesses de la Nouvelle-Galles du Sud. En 1829, la ville compte 16000 habitants dont de nombreux militaires2.
D'autre part, la découverte de gisements d'or dans l'État voisin du Victoria (1851) devait également favoriser la croissance spectaculaire de la ville.
En 1920, on comptait plus d'un million d'habitants et le petit comptoir des origines s'était étendu bien au-delà des rivages de Port Jackson. Pendant la guerre du Pacifique, la ville servit de base pour les forces aériennes et navales alliées. Deux sous-marins de poche japonais arrivèrent même à entrer dans la baie en mai 1942.
Sydney a accueilli les Jeux olympiques d'été de 2000. La ville eut également en charge l'organisation des journées mondiales de la jeunesse 2008.

L'hauteur de la Tour Eiffel


La place de la tour Eiffel parmi les plus hauts bâtiments de 1889

En 1889, avant que la tour Eiffel ne soit officiellement achevée, seules trois structures dépassaient 150 mètres, soit la moitié de sa hauteur : la cathédrale de Rouen (150 mètres), la cathédrale de Cologne (169 mètres) et l'obélisque de Washington (169 mètres). Avec ses 300 mètres, la tour Eiffel dépasse donc largement tous les autres grands bâtiments du monde existants à l'époque

Les étage de La Tour Eiffel


Le premier étage

Situé à 57 mètres au-dessus du sol, d'une superficie de 4 220 mètres carrés environ, il peut supporter la présence simultanée d'environ 2 500 personnes.
Une galerie circulaire fait le tour du premier étage et permet d'embrasser une vue à 360° sur Paris. Cette galerie est ponctuée de plusieurs tables d'orientation et longues-vues permettant d'observer les monuments parisiens. Face à l'extérieur sont inscrits en lettres d'or les noms de soixante-douze personnalités du monde scientifique des xviiie et xixe siècles (Français ayant vécu entre 1789 et 1889).
Ce premier étage abrite le restaurant 58 Tour Eiffel qui s'étend sur deux niveaux. Celui-ci offre d'un côté, une très belle vue panoramique sur Paris, et de l'autre, une vue sur l'intérieur de la tour.
Le premier étage depuis la base
On peut également voir certains vestiges liés à l'histoire de la tour Eiffel, notamment un tronçon de l'escalier en colimaçon qui, à l'origine du monument, montait jusqu'au sommet. Cet escalier a été démonté en 1986, lors des très importants travaux de rénovation de la tour. Il a été ensuite découpé en 22 tronçons dont 21 ont été vendus aux enchères, et achetés pour la plupart par des collectionneurs américains.
Enfin, un observatoire des mouvements du sommet permet de retracer les oscillations de la tour sous l'effet du vent et de la dilatation thermique. Gustave Eiffel avait exigé qu'elle puisse supporter une amplitude de 70 centimètres, ce qui ne fut jamais le cas puisque dans les faits, lors de la canicule de 1976, l'amplitude de l'oscillation a été de 18 cm et de 13 cm lors de latempête de fin décembre 1999 (vent de 240 km/h). Pierre Affaticati et Simon Pierrat ont d'ailleurs su remédier à ce problème d'amplitude en 1982 en incorporant des matériaux composites à l'armature connexe. Une des particularités de la tour est qu'elle « fuit le Soleil ». En effet la chaleur étant plus importante du côté ensoleillé, le fer se dilate de ce coté et le sommet s'oriente légèrement à l'opposé.

Le deuxième étage

Situé à 115 mètres au-dessus du sol, d'une superficie de 1 650 mètres carrés environ, il peut supporter la présence simultanée d'environ 1 600 personnes.
C'est de cet étage que la vue est la meilleure, l'altitude étant optimale par rapport aux bâtiments en contrebas (au troisième étage, ils sont moins visibles) et à la perspective générale (nécessairement plus limitée au premier étage).
À travers le plancher, des hublots vitrés ont été installés afin de permettre une vue plongeante sur le sol en contrebas. Des grillages métalliques de protection sont présent afin d'empêcher toute tentative de saut dans le vide, qu'il s'agisse d'un suicide ou d'un exploit sportif.
Le restaurant Le Jules Verne est un restaurant gastronomique d'une capacité de 95 couverts, récompensé d'une étoile par le guide Michelin, d'un 16/20 et trois toques au guide Gault et Millau. Le restaurant a été repris en main par le groupe d'Alain Ducasse et a rouvert ses portes fin décembre 2007 après 120 jours de travaux, coordonnés par Patrick Jouin. Un ascenseur « privé » (il sert aussi au personnel d'entretien de la tour), situé dans le pilier sud, mène directement à une plate-forme d'environ 500 m2, à exactement 123 mètres de hauteur.

Le troisième étage

Situé à 276,13 mètres au-dessus du sol, d'une superficie de 350 mètres carrés, il peut supporter la présence simultanée d'environ 400 personnes.
L'accès se fait obligatoirement par un ascenseur (l'escalier est interdit au public à partir du deuxième étage) et donne sur un espace fermé ponctué de tables d'orientation. En montant quelques marches, le visiteur arrive ensuite sur une plate-forme extérieure, parfois dénommée « quatrième étage » culminant à près de 279 m.
On peut apercevoir à cet étage une reconstitution du type « musée de cire » montrant Gustave Eiffel recevant Thomas Edison, qui renforce l'idée selon laquelle Gustave Eiffel aurait utilisé l'endroit comme bureau. La réalité historique est différente : l'endroit a d'abord été occupé par le laboratoire météorologique, puis dans les années 1910 par Gustave Ferrié pour ses expérimentations de TSF.
Tout en haut de la tour, un mât de télédiffusion a été installé en 1957, puis complété en 1959 pour couvrir environ 10 millions de foyers en programmes hertziens. Le 17 janvier 2005, le dispositif a été complété par le premier émetteurTNT français, portant à 116 le nombre d'antennes de télédiffusion et radiodiffusion de l'ensemble.


Le Complexe du Taj Mahal


Le complexe du Taj Mahal[modifier]

Le Taj Mahal est construit en utilisant des matériaux provenant de diverses régions de l'Inde et du reste de l'Asie. Plus de 1 000 éléphants sont employés pour transporter les matériaux de construction durant l'édification. Le marbre blanc est extrait du Rajasthan, le jaspe vient du Panjâb, la turquoise et la malachite du Tibet, le lapis-lazuli du Sri Lanka, lecorail de la mer Rouge, la cornaline de Perse et du Yémen, l'onyx du Deccan et de Perse, les grenats du Gange et du Boundelkand, l'agate du Yémen et de Jaisalmer, le cristal de roche de l'Himalaya. En tout, 28 types de pierres fines ou ornementales polychromes ont été utilisés pour composer les motifs de marqueterie incrustés dans le marbre blanc.
Le dôme central du tombeau est entouré par quatre minarets identiques, qui s'inclinent vers l'extérieur de telle sorte qu'en cas de tremblement de terre, ils s'écroulent dans la direction opposée au tombeau. À la gauche du monument se trouve une mosquée, faite de grès rouge, qui a été construite afin de sanctifier l'endroit et fournir un lieu de culte aux pèlerins. Du côté droit, se trouve une réplique symétrique exacte de la mosquée, connue sous le nom de jawab (« réponse »), destinée à maintenir la symétrie architecturale mais qui n'est pas employée comme mosquée car elle n'est pas orientée vers La Mecque. Enfin, à l'avant du monument se trouvait le charbâgh (« quatre jardins ») traditionnel persan planté d'arbres, et où poussaient des fleurs en abondance. Le vice-roi britannique Lord Curzon a remplacé ce jardin par des pelouses typiquement britanniques.
Joyau le plus parfait de l'art musulman en Inde, il est l'un des chefs-d'œuvre universellement admirés du patrimoine de l'humanité.
Le complexe du Taj Mahal est inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1983.

La légende de Taj Mahal


Le Taj Mahal[modifier]

La légende d'une planification par Shâh Jahân de la construction d'une réplique symétrique du Taj sur la rive gauche reste vivace. En marbre noir cette fois-ci, les deux bâtiments auraient été reliés par un pont. Il semble que le premier à avoir émis cette idée soit le joaillier Jean-Baptiste Tavernier (1605-1689) qui se rendit plusieurs fois aux Indes à la recherche de pierres et qui raconte avoir assisté à plusieurs stades de la construction du bâtiment. Bien que ses écrits soient une source historique importante pour la connaissance du pays à cette époque, il semble qu'en l'occurrence il se soit laissé abuser. Il y prétend que le renversement de Shâh Jahân par son fils empêcha le démarrage des travaux. Il est peu probable cependant qu'ils aient été envisagés, le trésor impérial ne l'aurait pas permis. Cet état des finances impériales fut d'ailleurs un des détonateurs de la lutte pour sa succession. De plus, contrairement au marbre blanc que l'on trouve en abondance au Rajasthan, donc à peu de distance et à un prix très bas, même encore aujourd'hui, on ne trouve pas de marbre noir, en tous cas pas dans les quantités nécessaires, en Inde, ce qui aurait rendu les coûts de construction impossibles à assumer. Enfin, des fouilles en face du Taj, sur l'autre rive du fleuve ont bien révélé des structures, mais il s'agit des restes du Mehtab Bagh, un jardin moghol ; le Taj Mahal se reflétait sur le plan d'eau d'un immense bassin situé dans ce jardin, ce qui a peut-être donné naissance au mythe du « second Taj ».

La Culture de Sydney


Culture[modifier]

Opéra de Sydney
Sydney accueille de nombreux festivals et certaines des plus grandes manifestations sociales et culturelles d'Australie. Il s'agit notamment du festival de Sydney (Sydney Festival), le plus grand festival d'art australien avec des représentations en salle et des spectacles gratuits en plein air qui a lieu tout au long du mois de janvier, la Biennale de Sydney (Biennale of Sydney), fondée en 1973 et qui les années paires offre un festival d'art contemporain, le Big Day Out, un festival itinérant de musique rock originaire de Sydney, le Gay and Lesbian Mardi Gras le long d'Oxford Street, le Festival du film de Sydney (Sydney Film Festival) et de nombreux autres festivals de film tels que les festivals de court-métrage Tropfest et Flickerfest.
Le Prix Archibald,considéré comme le plus important prix de portrait d'Australie, est organisé par la Galerie d'Art de Nouvelle-Galles du Sud. Le Sydney Royal Easter Show (le salon royal de l'agriculture de Sydney à Pâques) est organisé chaque année au parc olympique de Sydney, la finale de l'Australian Idol se déroule sur les marches de l'Opéra et la semaine australienne de la mode a lieu deux fois par an en avril/mai et septembre. Les fêtes de la Nouvelle année et la fête nationale à Sydney sont les plus importantes d'Australie.
Une enquête basée sur la fréquence des mots et des phrases dans les médias, cite Sydney en numéro 9 sur une liste de villes de mode en 2009. La ville est le site de la célèbre Rosemount Australian Fashion Week qui se produit deux fois par an et est le foyer de beaucoup de grandes maisons de couture australiennes. La plupart des grands couturiers ont une représentation importante à Sydney.

La construction de les Pyramides


La construction  

  Les pyramides montrent, pour leur époque, le grand savoir des ingénieurs égyptiens capables de faire s'élever de tels monuments avec des moyens très rudimentaires. Les méthodes de construction des pyramides égyptiennes demeurent incertaines. Les données archéologiques sur ces chantiers gigantesques restent très fragmentaires, tandis que les théories fleurissent et se multiplient, surtout depuis la fin du xixe siècle. Des centaines d'ouvrages consacrés à la pyramide de Khéops prétendent avoir enfin réussi à percer le mystère qui entoure sa construction. Les théories se focalisent généralement sur la Grande pyramide, partant du principe qu'une méthode pouvant expliquer sa construction peut également s'appliquer à toutes les autres pyramides d'Égypte. En fait, rien ne permet d'affirmer que les mêmes méthodes aient été appliquées à toutes les pyramides, de tous types, toutes tailles et toutes époques.